À l’occasion de la présentation de ses résultats 2023, le 7 mai, la branche régionale ouest de l’assureur, basée à Niort (Deux-Sèvres), a tiré la sonnette d’alarme sur le coût exorbitant des sinistres liés aux catastrophes naturelles à répétition. Après une année 2022 cataclysmique, marquée par les épisodes de grêle intenses (170 M€ d’indemnisation), 2023 a été impactée par le séisme de mi-juin et ses conséquences dans les Deux-Sèvres et la Charente-Maritime notamment (18,7 M€), ainsi que par les tempêtes Ciaran et Domingos en fin d’année (16,7 M€) . L’assureur a néanmoins terminé l’année avec un chiffre d’affaires de 764 millions d’euros (+1,6 %) et un résultat net de 14,2 millions d’euros. Groupama Centre-Atlantique (361 000 sociétaires) couvre les Deux-Sèvres, la Vienne, la Haute-Vienne, le Lot-et-Garonne, la Vendée, la Gironde, la Charente, la Charente-Maritime, la Dordogne et l’Indre. L’entreprise est pilotée depuis début mai par un nouveau président, assisté entre autres d’un directeur général et d’un directeur général adjoint nommés en février.
Deux-Sèvres
Groupama Centre-Atlantique accuse le coût du dérèglement climatique
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