Au lendemain de la dissolution de l’Assemblée nationale par Emmanuel Macron, la CPME anticipe la formation d’un nouveau gouvernement et "rappelle ses priorités". Parmi ces enjeux, l’organisation patronale cite la situation budgétaire et la dette publique qui "rend indispensable et prioritaire une réforme de l’action publique". La CPME souhaite une "politique de l’offre" pour soutenir les entreprises, en ramenant les prélèvements obligatoires au niveau de la moyenne européenne. Elle cite également la décarbonation, qui doit se poursuivre, la baisse du coût du travail et la simplification administrative. Les élections législatives anticipées auront lieu le 30 juin et le 7 juillet prochains.
